L'Académie du Dragon Vert
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Tout le monde à ses secrets mais dans cette académie, on a tous le même, nous avons des pouvoirs magiques. Viens apprendre à t'en servir, fais toi des amis, trouve l'amour. Bienvenue à l'Académie du Dragon Vert.
 
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 • Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •

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Autumn Jacobson

Autumn Jacobson


Messages : 11
Date d'inscription : 17/11/2010

Feuille de personnage
Expérience en magie:
• Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •  Left_bar_bleue0/1000• Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •  Empty_bar_bleue  (0/1000)
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MessageSujet: • Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •    • Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •  Icon_minitimeMer 17 Nov - 21:09



Autumn Jacobson

Je suis une simple humaine.


Chapitre I - Identité
Le masque tombe, l'homme reste et le héros s'évanouit. – Serge Gainsbourg


    • Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •  1290020711045069800
    Avec Asuka Langley de Neon Genesis Evangelion
      Nom & Prénom:
      Jacobson, son nom, n'a rien de spécial. En revanche, Autumn, son prénom, peu courant, lui a été donné en raison de sa date de naissance. Evidemment, en étant née le premier jour de l'automne, on se doute un peu de l'origine de ce dernier... Autumn ne l'aime pas plus que ça, elle préfère largement qu'on lui donne un surnom, pour elle, rien ne remplace les appelations brèves.

      Sexe :
      Féminin, évidemment. Il suffit d'un coup d'oeil même très rapide pour s'en apercevoir. Même si elle-même, Autumn adore dire qu'elle a un "buste d'androgyne qui se répère super vite". Ce qui est faux.

      Age :
      Quinze ans, c'est assez dur de le trouver sans le savoir, d'ailleurs. Née le premier jour de l'automne, donc. Soit le vingt-trois septembre.

      Statut :
      Elève. D'ailleurs, il serait étonnant qu'à son âge, Autumn se soit vu attribuer un quelconque grade, professeur ou femme de ménage. De toute manière, grande, elle n'a aucune intention de rester dans l'école pour travailler.

      Chambre :
      Franchement, aucune idée. Autumn verra bien selon les pensionnaires installés.


Chapitre II - Physique
La cerise sur le gâteau peut passer inaperçue si elle est posée sur un gâteau à
la cerise. – Anonyme

Autumn est une gamine comme on en voit rarement. On aura beau dire, son physique plutôt candide et ses manières toutes aussi juvéniles ne sont pas le reflet d’une maturité des plus prononcées. La jeune fille ne prétend en rien être quelqu’un de remarquablement beau, par ailleurs. Elle ne passera pas des heures devant un miroir à s’admirer, mais fait attention à ne pas être non plus un « as de pique ». Cependant moins que la généralité des filles de son âge, c’est à-dire les pots de peinture pré-pubères. Bon, non, soyons sincères, en fait, Autumn se fout complètement de ce que les autres pensent de son physique. Elle n’a pas besoin de vêtements de marque ou de khôl en permanence pour être quelqu’un de relativement agréable à regarder.

La chose que l’on remarque en premier lieu chez la jeune fille est sa chevelure rousse, absolument immanquable. Sans ces cheveux de couleur assez insolite, Autumn serait de toute manière beaucoup moins singulière. Avouons-le, une rousse, ce n’est pas si courant qu’un brun ou qu’une blonde. Longs, ils lui descendent jusqu’à mi-dos, vers la courbe de la colonne vertébrale. La chevelure d’Autumn est volumineuse et ses cheveux épais. Une frange éparse vient couvrir son front, bien distinguable du reste de sa coiffure. Elle les attache souvent, les rares fois où elle les lâche totalement, elle râle.

Autumn a une peau plutôt pâle, ce qui se voit aussi rapidement et lui attire quelques remarques. Pas au point d’être
« blanche comme un cachet d’aspirine », mais on ne peut pas dire qu’elle ai une peau bronzée ou encore joliment rosée. En parlant de bronzage, elle ne peut pas prendre de couleur, et ce à cause des tâches de rousseur –invisibles- qui absorbent la mélanine. Il n’y a qu’en hiver que sa peau ne peut plus êtes qualifiable de pâle, et lorsqu’elle rougit.

Chez la jeune fille, on peut aussi être attiré par ses yeux bleus, qui ressortent beaucoup sur peau blanche et fond roux. Ils sont clairs, légèrement gris au niveau de l’iris. Autumn a des cils prononcés, longs, fins et noirs, qui surplombent des yeux et les soulignent joliment. Ses sourcils, eux, sont plus fins et roux –ce qui est plutôt insolite. On remarque à quel point ils sont à la limite de son arcade sourcilière quand elle les fronce.

L’étudiante a, par ailleurs, un joli corps. Elle est mince, maigre même pour certains, et n’a pas des formes spécialement prononcées pour son âge. Dotée d’une petite poitrine, elle ne peut par ailleurs pas être qualifiée de planche à pain. Sa chute de rein n’a rien de vertigineux. Autumn a des épaules délicatement courbées et un buste qui n’a rien d’androgyne malgré ce qu’elle raconte. Elle a, en revanche, de superbe jambes qu’elle n’hésite pas à montrer.

Chose étrange, également, c’est que pour une rousse, elle n’a aucune tâche de rousseur visible sur le visage. En revanche, quelques unes se son glissées vers son nombril, mais il n’y a évidemment qu’elle qui le sache.

Même si cela ne rentre pas vraiment dans le physique à proprement parler, le style vestimentaire de la jeune fille mérite qu’on en parle. Elle aime porter robes et short, mais a horreur des jupes, qu’elle trouve terriblement laides. Autumn apporte un grand soin à avoir une garde-robe colorée avec des tons qui s’accordent facilement. Comme elle est complètement fondue de l’orange, une majeure partie de ses vêtements est de cette même teinte. Par ailleurs, elle peut aussi bien porter des habits masculins que féminins.

Chapitre III - Caractère
La gentillesse s’improvise. L’agressivité se prépare. – Anonyme

Autumn est une personne plutôt facile à cerner. Plutôt facile à comprendre, du moment qu’on la fréquente un petit peu, qu’on s’habitue à son caractère et qu’on est relativement tolérant. Il n’y a pas grand-chose à comprendre chez cette fille qui en somme aime bien dire qu’elle est banale, qu’elle est comme n’importe qui d’autre tout en se démarquant à sa façon. Même si au fond, personne ne peut lui ressembler, et elle ne peut ressembler à personne. Il est quasiment impossible de décrire Autumn, de mettre des mots sur qui elle est vraiment. Elle n’est pas de ces gens étranges qui tuent leurs parents à mains nues ou de ces adolescentes stéréotypées qu’elle trouve foncièrement détestables. C’est plutôt un mélange de sentiments détonant qui donne. Ben. Qui donne elle, Autumn.

Mature même si elle est parfois marquée par les comportements de son âge, Autumn n’a pas la prétention d’être tout le temps appréciable. Tantôt elle sera heureuse, rira avec vous, sourira, lancera des boutades gentilles. Tantôt elle se renfermera sur elle-même et se contentera de vous écouter en hochant la tête sans vraiment vous entendre. On ne peut pas pour autant dire qu’Autumn est quelqu’un de lunatique, car c’est faux. Si elle n’apprécie pas quelqu’un, elle le lui fera savoir, elle ne sympathisera jamais avec quelqu’un qu’elle n’a pas trouvé fréquentable en quelques temps. Au contraire, elle peut se révéler être adorable si on la connaît un peu.

Vulgaire sans le vouloir, elle a une fâcheuse tendance à considérer le « merde » ou le « putain » comme un mot de liaison dans ses phrases. Elle est également très désagréable quand l’envie lui chante, et peu devenir une petite peste au point de se faire détester. Franche, même un peu trop, elle n’a pas froid aux yeux, n’hésite pas à dire aux gens ce qu’elle pense d’eux. Si elle juge que c’est utile. Et, contrairement à ces clichés d’adolescentes en manque de reconnaissance, elle ne considérera pas que discuter avec une personne fera d’elle une potentielle amie pour la vie. Il faut apprendre à la connaître, voilà tout.

Hormis cela, l’élément qui lui est associé, le feu, lui va à ravir. Autumn est un peu du genre colérique, et défend farouchement ses opinions quitte à s’énerver sur tout le monde. Sauf ceux qui compatissent et se range de son côté, évidemment. Quoique. Elle peut se montrer impulsive comme pas deux et vous servir sur un plateau d’argent sa mauvaise humeur. Elle est tout à fait capable de se renfrogner pour un rien. D’ailleurs, rancunière, elle ne pardonne pas toujours facilement.

Autumn n’aime pas non plus un bon nombre de choses. Les lister est absolument impossible car la liste s’agrandit perpétuellement. On peut quand même mettre un point d’honneur sur son dégoût pour les courgettes et les pleurs d’enfants. Car, non, Autumn n’es pas du tout patiente, et d’ailleurs, elle est absolument incapable de rester des heures sur une même chose.

Ce n’est pas une élève particulièrement studieuse, même si les professeurs l’aiment généralement bien. Elle participe, travaille, s’intéresse et discute des fois avec eux à la fin des cours. En revanche elle a en horreur l’étude platonique qui ne l’intéresse pas, qui ne capte pas son attention. Elle ne discute pas spécialement en classe. De toute manière, Autumn a toujours peur de ne pas trouver de sujet de discussion, et préfère ne pas entamer la conversation pour que finalement elle n’aboutisse pas.

Même si, avec ce portait, elle apparaît comme quelqu’un d’inintéressant et de désintéressé, ce n’est pas son cas. En fait, il faut être un « proche » de la jeune fille pour avoir une réelle idée de son caractère.

Chapitre IV - Histoire
L’avenir n’est pas une amélioration du présent. C’est autre chose. – Elsa Triolet

Le goudron crissa sous les pneus de la voiture. Depuis l’extérieur, on pouvait voir une fillette, le nez écrasé contre la vitre, observer les alentours. Ses grands yeux bleus scrutaient allègrement tout ce qu’elle était en mesure de voir du paysage qui défilait de l’autre côté de la mince pellicule de verre. Elle fit cliqueter ses ongles juste à côté de son visage et finit par s’arracher à sa contemplation. Elle se rassit normalement dans son siège et lança un regard par le rétroviseur. La fillette ne comprenait pas pourquoi l’image qui lui était renvoyée était son propre visage avec deux nez, quatre yeux et deux bouches, le tout superposé. Mais ça l’amusait. Beaucoup.
Dans le même rétroviseur elle croisa le regard de sa mère qui se retourna vers elle, souriante.


▬ Ça va, ma puce ? Tu ne t’ennuie pas trop ? Nous sommes bientôt arrivés à la maison, ne t’en fais pas.

La petite fille se contenta d’hocher la tête en forçant sur les commissures et en bridant ses yeux. Sa mère fit remarquer que c’était une enfant très éveillée, et son père laissa échapper un rire fier. Rose et Alain Jacobson étaient deux parents comme tous les autres : fiers, qui voyaient leur progéniture comme la plus magnifique de toutes. La concernée n’avait pas plus de six ans et se fichait bien de ce que pouvait bien vouloir dire « éveillée ». Elle passa une main sur sa salopette en jean pour en ôter les miettes de croissant et recommença à regarder par la fenêtre. Oui, vraiment, Autumn avait les parents les plus banals que l’on puisse imaginer. Si bien que, qui, mis à part le destin, aurait pu prédire ce qu’il adviendrait d’elle ?


Autumn avait grandit dans une maison plutôt grande, avec ses deux parents. Elle allait dans une école primaire absolument ravissante, portait toujours des salopettes en jean, se faisait surnommer «Auto’» et avait une bande de copains. Elle savait compter jusqu’à neuf mille neuf cent quatre vingt dix neuf, faire le schéma digestif du corps humain, faire des multiplications, reconnaître les sujets des verbes. Elle connaissait également par cœur les règles de l’élastique, de chat, de la balle au prisonnier, de dauphin dauphine et battait toujours ses amis à la bataille de cartes. Plus tard, elle voulait être vétérinaire et souhaitait pour le moment avoir un chien, un petit. Mais par-dessus tout, Autumn était une enfant éveillée. Oui, car, même du haut de ses huit ans, beaucoup faisaient l’éloge de cette drôle de gamine rousse, dynamique et adorable, même malgré ses pitreries jamais bien méchantes qui faisaient toujours rire. En somme, elle était une enfant parmi tant d’autres. Et elle aimait cette chevelure rousse qu’elle comparait souvent à celles des héros de dessins animés. Il fallait dire qu’elle était la seule personne qu’elle connaisse à avoir des cheveux de cette teinte. Et elle en était fière.
Fière comme elle était fière d’avoir une bande de copains formidable. La gamine héla Juliette, l’une des meilleures parmi les meilleurs, et lui indiqua une direction. La récréation qui suivait la cantine était le moment propice à des jeux géants entre tous les enfants qui voulaient s’amuser. Qu’ils se connaissent ou pas, tout le monde pouvait se joindre à la cohorte. Ainsi, après avoir mangé, tout le monde s’était retrouvé dans la cours pour lancer un chat géant. Juliette, qui était donc chargée d’attraper les souris, avait l’aide d’Autumn. Les deux fillettes avaient pactisé, et du moment que la petite blonde ne touchait pas son amie, elle avait un appui fidèle pour l’aider à traquer les autres. C’est ainsi qu’Autumn attira dans les filets du chat l’innocent Antoine. Le petit garçon râla, amer, mais savait très bien que ça se passait toujours comme ça.


▬ Antoine ! Tu veux que je t’aide à attraper les autres ? glissa tout bas la petite Autumn à son ami…


Autumn saisit son propre poing dans sa main. Elle frotta énergiquement, tout en marchant. Le sable sur bruissait fortement, mais elle se contentait de l’ignorer. Elle ne quitta pas du regard sa meilleure amie, Juliette, qui discutait avec elle. Elle glissa ensuite ses mains dans ses poches en riant grassement à une anecdote de sa camarade. Les cheveux blonds de Juliette entouraient joliment son visage un peu grassouillet. Depuis la primaire, sa corpulence avait évolué, et elle avait pris du poids, même si elle restait tout à fait dans la norme. Tous les jours elle se plaignait et Autumn avait fini par y prêter inconsciemment attention. Dans son esprit, elle comparait les courbes de la fillette qu’elle côtoyait encore. Mais au final, elle s’en fichait, et regrettait pas mal ce côté trop « j’ai-deux-kilos-en-trop-je-vais-mourir-aucun-mec-ne-veux-de-moi » l’agaçait plus qu’autre chose. La rousse avait son côté légèrement désintéressé, un peu « garçon » même, qui faisait que si elle parlait avec la gente masculine, la seule chose à laquelle elle pensait était que leurs conversations surpassaient celles des filles de son âge. En bref : Autumn trouvait qu’avoir onze ans, presque douze, commençait à ramollir le cerveau de toutes ses congénères. Et encore. Elle était consciente que cela n’irait qu’en empirant.
Elle pensa que la pause déjeuner organisée pour la mi-sortie l’enchantait. Elle commençait déjà à n’avoir que d’oreilles que pour son ventre et avait hâte de manger. Trimballer un sac à dos avec entre autre une nourriture qu’il fallait attendre avant de déguster était particulièrement malsain à ses yeux. Cette sortie éducative sur un domaine d’acrobranche avait beau lui plaire, l’effort lui avait rendu la faim. Et puis, franchement, un cours sur « comment porter un bandana », qui plus est venant de Juliette, tout ce que cela lui inspirait, c’était d’aller se pendre.
Sans compter que son bandana, il était hideux.

Autumn sourit. Victor, un type plutôt sympa de sa classe, était venu casser le quasi-monologue de sa camarade. Naturellement, Juliette se contentait de rajuster sa barrette depuis qu’il était venu s’installer à côté d’elles. Mais le garçon n’y prêtait pas attention et discutait avec la petite rousse. Il fallait dire que même si tous ne se ruaient pas pour faire la cours ou obtenir les faveurs d’Autumn, la plupart était de ses amis et appréciaient de lui faire la conversation.
Il croqua dans le sandwich que sa camarade rousse lui avait donné, lui ayant oublié son repas. Le Kiri s’échappa à moitié de l’autre côté des tranches de pain de mie complet et un rire agita les deux enfants. La jeune fille était contente d’être à la fois libérée des discours de Juliette et de manger. Elle savait pertinemment qu’elle était bien la seule personne au monde qui pouvait considérer le monde génial du moment qu’elle avait le ventre rempli et son amie qui se taisait. Mais ça ne la dérangeait pas.
Elle lança un juron en renversant son paquet de chips, ce qui provoqua l’hilarité la plus totale chez Victor. A la fois amusée et irritée, elle se contenta de lui lancer un regard sérieux, un grand sourire planqué sur la face. Non, vraiment, ce n’était pas drôle, mais on ne pouvait pas non plus dire que la fin du monde se soit déclarée. Sa main se saisit du paquet et elle commença à mimer un professeur en rigolant, faisant passer les chips qu’elle écrasait pour la tête d’un élève. Même Juliette quitta sa contemplation de l’être masculin qui riait déjà pour se joindre à leurs éclats de voix. Autumn aurait presque eut mal aux côtes si elle n’avait pas été interpellée. Elle se retourna sèchement, encore à demi éclatée de rire.


▬ Alors, on porte toujours son vieux sweat des années quarante, déclara Sibylline, sa récitation suivie de gloussements de sa bande de copines.
▬ Ah. Ah. Ah… Tu es vraiment trop conne. Fous-moi la paix, répliqua Autumn, froide et amère. Si j’étais toi j’irais m’acheter une face avant de parler !
▬ Emdéèr. C’est à moi que tu parles ? Ou bien à ton miroir ?
▬ Il faut croire que c’est à toi, poufiasse.


Sibylline était l’énergumène qu’évidemment Autumn ne pouvait pas supporter et qu’elle retrouvait dans sa classe. Cette fille était, pour la petite rousse, la plus grosse connerie que des parents aient pu un jour mettre au monde. Si Juliette était exaspérante avec ses obsessions sur les garçons, Sibylline était exaspérante tout court. Même sa tête ne rappelait rien à Autumn qui la trouvait abominable derrière les cinq couches de maquillage qu’elle portait. A dire vrai, elle était devenue la cible préférée de son ennemie jurée et de sa bande. Et quitte à faire cliché jusqu’au bout de la pétasse à presque douze ans, la gamine était issue d’une famille bourrée d’argent. Plus stéréotypé, tu meurs.
La face de Sibylline se décomposa en un rictus dégoûté. Elle toisa la rousse avec dédain, la regarda de haut en bas, détaillant chaque partie de son corps, de sa tenue vestimentaire. Même si elle était assise, Autumn trouvait insupportable d’être ainsi regardée de haut en bas. Elle se redressa avec une envie de la mettre à terre. Même si elle se savait capable de la mater, elle n’avait aucune envie d’être réprimandée. D’ailleurs, elle n’avait tout simplement pas envie de la frapper, là, maintenant. Juste qu’elle lui foute la paix. Son adversaire se leva elle aussi, et pencha la tête sur le côté, en croisant les bras et en écartant ses jambes chaussées de bottines hautes.


▬ On dirait un sac poubelle, tu es sûre que tes fringues, tu ne les a pas découpées dedans ? Tes parents sont tell’m-
▬ Mes parents sont quoi, sale pute ?!


Autumn agrippa violemment le bras de Sibylline et y appliqua une puissante pression. Elle la força à reculer et à se courber avec soumission. Son corps s’était raidi sous l’effet de la colère et son envie de réellement la frapper se faisait sentir. Toute son attention était focalisée sur le visage de son adversaire qui avait pâli en un temps record. A vrai dire, rien que le regard de la rousse donnait des sueurs froides. Un soubresaut agita la soumise qui laissa échapper un cri.

▬ JACOBSON. LACHE MON BRAS.

Autumn marqua un moment d’hésitation où l’emprise de ses doigts se fit moins puissante, mais elle ne lâcha pas pour autant. Des bras agrippèrent la jeune fille et la tirèrent vers l’arrière. La force était largement plus importante que la sienne et elle n’opposa aucune résistance. Ses doigts glissèrent le long du bras de Sibylline avant de s’en décrocher. L’étreinte se voulait rassurante et à la fois paniquée, et elle devina qu’il s’agissait d’Eddy, le surveillant. La rage avait soudainement quitté la fillette qui se sentait plus fragile qu’autre chose. Au même moment, elle aurait voulu crier à la Terre entière qu’elle était fière de son geste. Celui qui la gardait serré contre son corps immense crispa les doigts en étouffant un hoquet.

▬ Au-Autumn. Mon Dieu. Mais…

Le regard d’Autumn rejoignit celui du surveillant sénégalais. A l’endroit où sa main avait agrippé le bras de Sibylline, le tissu avait brulé et sa peau imprimait des marques noires. La petite fille rousse se décomposa à l’instant même où elle comprit que la source se cette marque, c’était elle.


Autumn fourra un second oreiller dans sa taie. Elle gratta le trou émit par une cigarette sans savoir pourquoi. A vrai dire, elle s’en fichait. Comme elle se fichait de bien d’autres choses. Elle oscilla d’avant en arrière pour le simple plaisir d’entendre craquer les lattes de son lit miteux. Elle se releva tout de suite après et abandonna la chambre qu’elle était la seule à habiter. Depuis le transfert den son ancienne colocataire, elle n’avait plus vu défiler qui que ce soit dans le lit du haut. Et ce n’était pas pour lui déplaire. Elle fit craquer la poignet de la porte vitrée qui laissait voir l’extérieur et se retrouva à l’air frais. La cours était absolument insalubre, comme le bâtiment qui l’accompagnait. L’herbe était mal coupée, les trois arbres égarés au fond rabougris, et les jeux qui dataient d’une autre époque semblaient prêt à s’effondrer. Aucun pensionnaire n’était sorti. De toute manière, récemment, beaucoup avaient disparus.
« Disparu ».
La jeune fille rousse secoua la tête pour chasser cette image de sa tête. Elle frotta ses mains réfrigérées qu’elle ne sentait plus avec le froid et fit un « O » avec sa bouche de laquelle s’échappa une vapeur d’eau froide. Autumn partit s’asseoir sur une balançoire qui bougeait toute seule avec le vent et se balança avec une pointe d’égarement. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle était sortie. En fait, si, elle passait toujours beaucoup de temps dans la cours. Depuis qu’elle avait été placée dans cet endroit sordide, le Berlitz, sa vie n’avait rien de resplendissant. Il ne lui suffisait plus que sa meilleure amie se taise et d’engloutir quelque chose pour avoir une vie géniale. Non, vraiment. Comment la vie pouvait-elle l’être, ici, au fin fond des quartiers puants, dans un « orphelinat pour enfants abandonnés ». Car c’était ça. Même si les enfants qui étaient placés ici avaient encore leurs géniteurs, on pouvait dire que quelque part, pour eux, c’était comme s’ils étaient morts. Au début, Autumn avait trouvé ça horrible, impensable à dire. Mais maintenant elle comprenait entièrement pourquoi les pensionnaires disaient cela comme ça. Oui, vraiment. C’était la merde.
Une main agrippa l’épaule d’Autumn qui sursauta et se leva dans un geste fluide et contrôlé. Elle tenta d’agripper le bras de la personne derrière elle mais serra le vide. Elle savait que seules les personnes qui savaient se défendre étaient capables d’éviter ce genre de réflexe. Elle adressa un sourire adorable à Arthur. L’une des dernières choses qui chez elle était adorable, par ailleurs.



▬ Hé. Autumn. Je suis désolé de t’avoir fait peur, glissa-t-il avec un sourire amusé.
▬ Te fous pas de moi. Je devrais être habituée depuis le temps. Mais je ne t’avais pas entendu arriver.
▬ J’ai appris. Pour tes parents.
▬ Ah…


Autumn baissa le regard, mais elle savait qu’Arthur devinerait cette lueur désespérée qui avait pareillement brillé dans ses yeux le jour de son arrivée. En réalité, il avait été le premier qu’elle apprit à vraiment connaître ici. Le jour où elle avait débarqué, ce jour insupportable, il avait était celui sans lequel elle se serait tiré bien rapidement une balle. Elle se rappelait souvent les premiers pas dans le Berlitz, ce bâtiment insalubre aux façades sales. L’intendant qui fumait une clope, les pieds sur son bureau, et qui l’avait accueillie avec son père. Ce surveillant, Erick, qui lui avait indiqué sa chambre, et Nora, qui lui avait présenté le bâtiment brièvement. Et puis elle s’était retrouvée seule dans la grande cantine, vide, à gribouiller sur une feuille. Et puis d’Arthur. Il avait beau avoir quelques années de plus qu’elle, quatre précisément, il s’était approché d’elle. Il lui avait demandé ce qu’elle faisait ici. Et puis elle n’avait pas répondu. Alors il avait commencé à lui parler de lui, de ce que c’était que cet endroit, glissant des questions qui ne trouvaient pas réponse, mais il continuait de parler. Et puis au final, trois ans après être arrivée… Ils étaient devenus amis. Vraiment, sans Arthur, sans cette personne qui la soutenait même s’il se refusait à être proche d’elle, la vie serait encore pire. Ce qui était difficilement imaginable. Et dire qu’au fur et à mesure, elle avait finit par avoir une petite bande parmi les pensionnaires, que les cantines étaient bordéliques, que sa pensionnaire ne supportait personne d’autre qu’elle, qu’elle-même s’était endurcie, qu’elle avait oublié sa vie d’avant. Oui. Elle avait oublié ce passé qui lui rappelait ses parents. Ces enflures qui avaient roulé des yeux horrifiés et l’avait traitée comme une bête une fois Sibylline à l’hôpital. Elle leur vouait la haine la plus profonde. Et tant mieux s’ils ne venaient jamais la chercher.
Elle serra les poings contre ses cuisses pour contenir le flux de colère qui l’envahissait en pensant à ce dont Arthur venait de lui parler. Sa mère était à nouveau enceinte. Et Autumn savait pertinemment que ce petit être ne saurait sans doute jamais qui elle était, et même qu’elle existait. Elle qui, avant, se rêvait grande sœur. Mais elle était contente que quelqu’un vienne effacer sa présence, que quelqu’un apparaisse dans la vie de ces adultes pour faire oublier cette enfant ratée.
Un sourire mi-triste mi-amusé se dessina sur les lèvres du jeune homme.


▬ Tu veux un câlin ?
▬ Va te faire voir.
▬ Avec plaisir.


Il se força à sourire sous cette remarque qui au fond contenait une affection toute particulière. Jamais ils ne s’étaient fait la bise, ne s’étaient étreints, jamais ils n’avaient dépassé une poignée amicale. Il semblait à Autumn qu’il était même dur au début de prendre la main d’Arthur dans la sienne pour se hisser par la fenêtre quand on les enfermait dehors.

▬ Autumn. Ce soir, je fais le mur.
▬ … C’est une blague ?


La jeune fille avait pâli. Le mur. Au Berlitz, tout le monde rêvait de le faire mais ceux qui tentaient et se faisaient prendre ne revenaient jamais. Pas même chercher leurs affaires. Ce n’était pas qu’ils étaient tués, non, évidemment, mais ils étaient envoyés dans des coins encore plus sordides. Et pire, c’était presque impossible. En général, c’était la nuit. Les façades qui entouraient le bâtiment étaient hautes et des bouts de verre étaient disposés au-dessus. Et puis surtout, des barbelés empêchaient toute entrée ou sortie par autre part que la porte. Connor et Baptiste, des jumeaux, avaient réussi à s’échapper quelques semaines plus tôt. Séraphin, François, Louise, Joackim et Alexandre avaient également fait le mur. A vrai dire, presque toute la bande y était passée, mis à part Marine que sa mère était venue récupérer pour la placer chez son père. Autumn se demanda ce que chacun était devenu. Et elle eu envie de mourir.

▬ Tu ne peux pas faire le mur.
▬ Si, évidemment que si. Ça fait six ans que je moisis ici, j’ai seize ans. Il faudrait que je pense à faire ma vie, Autumn. C’est la merde.
▬ Le mur. Si tu te fais prendre tu es mort !
▬ Franchement je m’en fous.
▬ Arthur… Dans deux ans tu peux sortir.
▬ Mais bordel, Autumn ! On dirait que tu voudrais que je continue c’te vie ! Je sais que si je me barre, tu resteras toute seule. Mais rien ne t’empêche de faire le mur avec moi. De toute façon, c’est pour ce soir.
▬ …
▬ Je suis désolé, Autumn.



Autumn se colla contre le petit arbre rabougri et frissonna. Elle était toute seule pour ses treize ans. Elle n’avait jamais « fêté » son anniversaire au Berlitz, à dire vrai, mais elle s’était au moins toujours sentie entourée les vingt-trois septembre. Pas cette fois. L’endroit était terriblement vide. Elle se demanda comment cela se faisait qu’elle soit la dernière pensionnaire. Enfin, dernière. Elle était la seule à n’être pas scolarisée et donc à passer sa journée ici. Et puis il lui semblait qu’elle n’avait pas croisé âme qui vive depuis des années alors que ce matin même elle avait salué Erick. Quelques semaines plus tôt il était rentré de l’hôpital, l’œil pansé. La jeune fille rousse était présente lorsqu’il avait été blessé, en s’enfonçant un morceau de verre juste dans l’arcade sourcilière.
La pré adolescente soupira. En fait elle était la seule à savoir qu’aujourd’hui c’était son anniversaire. Elle ne voulait pas qu’on lui souhaite, elle voulait juste un peu de compagnie dans ce néant relationnel. Il était insupportable à ses yeux d’être trop seule. Tout ça la faisait chavirer vers les souvenirs, particulièrement ceux d’Arthur. Cela faisait maintenant trois mois et deux semaines qu’il avait fait le mur. Autumn savait qu’il s’était enfui avec brio mais ruminait. Elle lui en voulait mais se maudissait d’être aussi égoïste. Le jeune homme était débrouillard, intelligent, et avait de l’avenir s’il parvenait à ne pas se faire avoir. Elle imaginait qu’elle n’aurait plus jamais de ses nouvelles, mais elle balaya son image de sa tête. Elle se releva et se rendit dans sa chambre, toujours la même.
Elle se jeta sur son lit et sentit du papier de froisser sous son dos. Curieuse, elle se redressa et passa une main agile sur le matelas. Ses doigts se refermèrent sur une enveloppe. Les yeux brillants, elle déchira le haut et extirpa le courrier. La feuille, blanche, était rédigée par ordinateur. Les lettres manuscrites étaient alignées bien sagement, et une signature qu’elle ne connaissait pas venait attester de son authenticité. Son regard embrassa chaque ligne de texte, et fébrile, elle leva la tête de sa lecture.


▬ Merde alors.

Enfin, Autumn partait du Berlitz pour commencer une vie ailleurs.
A l’académie du dragon vert.


Chapitre V - Sort
La machine à voyager dans le temps existe. C'est la magie. Et la magie existe bien. Dans les mots.


Élément: Maîtrise le feu - L'élément associé à Autumn n'est autre que le feu, qui se marie à ravir avec sa chevelure rousse et son tempérament explosif. Elle ne s’en sert pas très bien, mais apprécie beaucoup le contact avec la chaleur.

Sorts :

Sort ▬ Autumn est capable de faire chauffer une partie de son corps voir son corps entier, sans le ressentir. La chaleur s'appliquera à sa peau et ce qu'elle touchera sera en mesure d'en subir les conséquences. En général ce sort se manifeste quand elle est énervée, mais s'accumule rarement à son don.
Sort ▬ Les veines d'Autumn peuvent chauffer afin de réguler la température de son corps, mais elle est alors seule à pouvoir en ressentir les effets. C'est le pouvoir qu'elle maîtrise le moins.
Sort ▬ Autumn peut faire apparaître des gerbes de feu, les faire grossir, les diriger. Elle peut également maîtriser une flamme déjà existante. C'est le pouvoir qu'elle maîtrise le mieux.

Les sorts se déclenchent plus difficilement lorsque le don d'Autumn est activé.

Don :
    Don - “ Berserker ”
Berserker. Qu’est-ce que c’est que ce truc ? A vrai dire, on ne peut pas dire que le nom convienne à proprement parler au don. Un berserker, c’est une personne qui, mise en colère, voit sa force décuplée. C’est dur, hein, d’imaginer Autumn, frêle adolescente de la quinzaine, terrasser une personne plus forte qu’elle dans son état normal. Heureusement, comme pour tous les dons, il n’est pas omniprésent. Il n’apparaît pas forcément à chaque fois que la jeune fille s’énerve, il se peut qu’elle crise sans être sous l’emprise du berserk. Le seul souci c’est qu’à un stade plutôt avancé, il peut se révéler incontrôlable et particulièrement dangereux. Il existe plusieurs niveaux de puissance, chacun rattaché à un niveau de rage. Pour le moment, on ne peut pas dire qu’Autumn ai réellement eu recours au « Berserker ». Quelques fois dans sa vie, au plus. Et elle n’est jamais allée plus loin, qu’allez, frapper quelqu’un. D’ailleurs, c’est plutôt rassurant, quand le don atteint un certain stade, elle est capable de détruire ce qui l’entoure, de frapper quiconque se mettra sur son passage et j’en passe et des meilleures, surtout qu’elle passe en mode « incontrôlable » et « voit tout en rouge ». Dans ce cas, une solution : l’assommer avec une batte de baseball.

Chapitre VI - Familier
"Veux-tu être mon ami?"


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Race : Panda Roux
Surnom : Prince
Sexe : Mâle

Apparence :

Prince est un charmant petit panda roux comme un autre. Il est relativement jeune, d’où sa taille modérée. Un peu enrobé, il reste néanmoins élancé et souple. Son pelage orangé, roux comme on en voit rarement, se retrouve, au soleil, presque couleur blé sec, et se recouvre de reflets cuivrés. Le petit animal a de grosses pattes, plutôt nommées paluches, noires jusqu’au flanc et griffues. Sa queue est légèrement striée de blanc sale, et ce jusqu’à son extrémité. Tout autour de son museau de propage une tâche blanche, et ses yeux sont soulignés par une « larme » noire, aussitôt reprise par des poils blancs jusqu’au front. Prince a, par ailleurs, des oreilles duveteuses d’où s’échappent des touffes de pelage blanc. De grandes moustaches rigides s’étalent autour de ses joues avec élégance, lui permettant de se diriger correctement.

Caractère :

On aura beau dire, même si Prince n’est qu’un familier, le caractère a toute son importance. Sa nature, aussi bien opposée que complémentaire à celle d’Autumn, fait de lui un animal adorable. Il est affectueux, aimant et le montre autant qu’il est possible pour un animal de cette taille. Docile comme on en trouve rarement, il obéit à chaque ordre de sa maîtresse. Maladroit, curieux, fouineur et sans-gêne, il a par contre une fâcheuse tendance à se fourrer dans ses situations assez improbables. Un vrai petit aimant à emmerdes, comme Autumn dirait. Le petit panda roux est aussi étrangement dynamique, ce qui n’est pas le cas de tous les représentants de son espèce. Très enclin à tout essayer, il gambade un peu partout, goûte à tout –même à ce qui n’est pas comestible- et accumule les bêtises. Il est également naïf, sans pour autant être idiot, et a du mal à faire la différence entre le bien et le mal.
En ce qui concerne sa capacité à combattre, Prince limite souvent les dégâts en intimidant son adversaire grâce à son pelage qu’il gonfle. Il est largement plus fort au niveau de la vitesse et de la défense qu’en offensive. En général il se place sur l’épaule ou sur le bras d’Autumn, y plante ses griffes et crache sur son adversaire.

Element & sort :

    Prince maîtrise l'élément de l'air - “ Pelage gonflable ”
Ce n’est pas un sort directement attribué à l’élément de Prince, mais il utilise tout de même l’air. « Pelage gonflable » est plus une technique qu’un sort, en fait. Il permet au petit animal de faire gonfler son pelage, donc, et ce jusqu’à le faire quadrupler de volume. Par ailleurs, il peut parfaitement réguler l’épaisseur.

Moi, moi &... Moi

Prénom : “It’s a secret of the past…” ♫
Âge : Je vous trouve bien indiscrets. J’ai treize années.
Sexe : Pas avant le dîner, haha Féminin
Comment suis-je arrivée ici : Prosternez-vous aux pieds de Jazz’, en effet.
Pourquoi me suis-je inscrite : Si on vous pose la question, vous direz qu’vous l’savez pas. Aha c’que j’suis drôle.
Commentaire : Je m’aime ♥ Ou pas.



{Vous l'aurez compris. Je suis à la ramasse. Oui. C'est très désolant. Ou pas. Merci d'avance de la lecture ♥}


Dernière édition par Autumn Jacobson le Ven 26 Nov - 17:58, édité 7 fois
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Bienvenu Autumn.
Fais mon signe quand ta fiche sera finie, pour l'instant c'est bon.
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MessageSujet: Re: • Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •    • Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •  Icon_minitimeVen 26 Nov - 18:01

Ce fut laborieux mais... (: J'ai finiiiiiiiiiiii \O/
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MessageSujet: Re: • Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •    • Autumn ; "Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise" •  Icon_minitimeLun 29 Nov - 19:40

Niih, upinounet? :3
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Désoler du retard, c'est exigeant d'être admin.

Bon, c'est OK, ta signer le règlement et ta fiche est bonne.
Tu es validée.

Tu peux commencer à RP.
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